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"Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms"... Merci Monsieur Pierre Doris ! Au fait, bienvenue sur le blog à Marko...

07 mars 2005

Froid dehors, doux dedans

Cela n’aura échappé à personne, la semaine passée fut l’une des plus froides que nous ayons jamais connues ! Le froid, la neige… tout y était. Pour couronner le tout, c’est durant cette semaine que j’ai dû me rendre plusieurs soirs d’affilée au-delà du périph’… Si c’est pas de l’aventure, ça ! Et comme un fait exprès, après mes pérégrinations vers des territoires jusqu’alors inconnus pour moi, j’ai accueilli à la maison des membres de la "belle famille". S’ensuivent, comme vous pouvez l’imaginer, les dîners à préparer, le surccroît de vaisselle, de rangement, de provisions… Bref, la semaine ne fut pas, loin s’en faut, la plus tranquille depuis le début d’année.
Quoiqu’il en soit, chaque chose ayant une fin, samedi arriva comme une libération : j’accompagnai tout ce beau monde jusqu’au train pour m’en retourner chez moi, comptant bien profiter de mon nid douillet, enfin tranquille ! Attention, je ne dis pas que j’étais mécontent de cette semaine un peu agitée, j’adhère simplement au vieil adage qui dit que "ça fait du bien quand ça s’arrête".
Me voilà donc de retour de la gare, j’en profite pour faire mes courses hebdomadaires au passage (ça aussi, au moins, c’est fait !) et, une fois les obligations satisfaites, me calfeutre chez moi, au chaud, dans mon home sweet home… Me croirez-vous ? J’ai passé le reste du week-end à traîner, flâner, musarder, flemmarder bien au chaud alors que le froid sévissait au dehors. Et là, ce fut le pied intégral ! Pas de contrainte, pas d’horaire à respecter si ce n’est sa propre horloge interne. Même le téléphone s’est retrouvé muselé (au passage, désolé pour les messages auxquels je n’ai pas répondu). Je n’ai eu qu’un seul regret, minime certes : ne pas avoir de cheminée afin de narguer encore davantage les basses températures extérieures. Mais bon…

La fin du week-end fut donc, vous l’imaginez, tranquille et reposant et - telle la larve moyenne - je me suis laissé vivre sans aucun assujettissement, comme j’aime le faire une fois de temps en temps. Et je vous prie de me croire quand je vous dis que c’est vraiment très agréable de se sentir bien au chaud et à l’abri… surtout après une semaine comme celle passée !