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"Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms"... Merci Monsieur Pierre Doris ! Au fait, bienvenue sur le blog à Marko...

29 décembre 2005

Un jour, un mot : GLITTER

Voilà un bout de temps que je n’ai pas mis à jour cette rubrique, je vais donc remédier à ce manque. Et pour cela, le mot choisi aujourd’hui est le mot «glitter» (NDLR : prononcez < 'glit&r >)… Certes, le mot est emprunté au langage britannique mais il a gardé toute sa signification et sa force dans notre belle langue.
Si l’on se fie au dictionnaire, «glitter» pourrait se traduire par les verbes briller, chatoyer ou encore scintiller. De fait, on associe souvent au glitter toutes sortes d’objets rutilants et, surtout, les paillettes ! Car, oui, la paillette est l’illustration même de ce terme… Une recherche rapide sur le net nous donne même la marche à suivre pour insérer une signature «glitter» à votre site !

Par extension et puisque notre langue est vivante, nous pouvons appliquer le terme sus-cité à une personne que l’on trouvera particulièrement «brillante», non pas au sens physique du terme (ne vous attendez pas à voir un être scintillant de mille feux lol… quoique certaine personne de ma connaissance a brillé un soir Porte de Clignancourt mais c’est une autre histoire !!!). Non, je vous parle là d’une personne au charisme prononcé, à l’intelligence acerbe… bref quelqu’un qui ne passera pas inaperçu et ne semblera pas sans saveur lors d’un cocktail, au détour d’une soirée mondaine, ou même lors d’un apéro entre amis…
C’est ainsi que, récemment, lors d’une conversation à bâtons rompus négligemment accoudés au comptoir d’un bar aux murs blafards, alors que nous devisions sur la «nouvelle génération de garçons plaqués or» (^^), nous parvînmes à la conclusion suivante (vous noterez au passage la parfaite maîtrise du double langage franco-britannique !) : «Non, décidément, ils sont certes tous très fashion mais il leur manque un élément essentiel… ils sont totalement dépourvus de glitter !».
CQFD

08 décembre 2005

La saucisse, c’est fait !

Comme le dit, ou plutôt comme le suggère, le titre, nous sommes donc revenus de Francfort où nous sommes allés accomplir notre horrible forfait : un tournoi de volley !! Nous partîmes donc 7 et, en arrivant à Francfort, nous étions 7 toujours… normal !
A peine arrivés et les formalités administratives accomplies (et ce n’était pas simple ^^), nous visitons le marché de Noël - absolument délicieux ^^ - avant de trouver un restau en mesure d’accueillir l’équipe au complet. Ca, pour manger, on a mangé… C’est pas des portions de tapettes que servent les restaurants teutons. ^^
Après une nuit de repos bien mérité car le voyage fut exténuant, nous voilà de bon matin au gymnase dès 08h30 pour une journée de matches au déroulement inégal. En effet, après avoir enfilé nos tenues si seyantes, une séance d’échauffement musculaire (si si on en a des muscles, cachés mais là tout de même !!!!), la série des matches commence. Si certains furent une véritable catastrophe, d’autres furent, eux, très agréables et menés de main de maître. Bien évidemment, vous imaginez bien que nous avons, dès notre arrivée, jaugé comme il se doit les adversaires. Et certains plus que d’autres… lol
Parmi les joueurs des équipes, il y avait vraiment des éléments de grande valeur. Et je ne parle pas que du point de vue volley-ballistique ! En un mot comme en cent, oui nous nos sommes bien rincé l’œil… Passage obligé dans les vestiaires et sous les douches pour nous débarrasser de toute cette sueur saine accumulée la journée durant, avant d’assister à la mini-cérémonie de remise des prix. Car, oui, nous eûmes un prix en finissant deuxième de notre poule (NDLR : poule ici signifie groupe et non un quelconque volatile de l’ordre des gallinacées que l’on pourrait qualifier dans certaines situations «de luxe»).

Arrive ensuite la soirée à laquelle je ne souhaitais pas me rendre car éreinté et endolori par une dure journée d’efforts intenses même si la perspective de croiser certaines créatures entraperçues la journée motivait largement. Mais, c’est résigné que je m’y rendis. Foule à l’entrée, foule au vestiaire, cette soirée (ou party ^^) commençait décidément bien mal à mes yeux. C’était sans compter les effets bénéfiques de certaine boisson faite à base de vodka et d’orange… Car l’ingestion de ces quelques verres décupla mon énergie et c’est ainsi que j’ai fait la fermeture de la soirée… ^^ Je vous livre en vrac les diverses activités auxquelles je me suis alors livré : monter et descendre plusieurs fois le superbe escalier, envahir le dancefloor pour effectuer avec Sebastian de très jolies chorégraphies, effectuer des relations publiques avec toutes les personnes qui stationnaient dans l’escalier mentionné plus haut ,… On va s’arrêter là !! ^^
Quoi qu’il en soit, le réveil du lendemain fut un peu difficile avec une douleur lancinante qui montait en puissance sous ma boîte crânienne. Le brunch de midi devenait par conséquent plus que léger voire quasiment inexistant tant mon malaise grandissait. Et c’est donc le ventre quasi vide que je montais dans la voiture qui devait nous ramener vers Paris… Sauf que… Ben, on a tourné quand même une heure avant de s’éloigner de plus de 50 kilomètres de Francfort, on a loupé la bifurcation qui nous permettait de couper par Mannheim et Metz directement… Résultat des courses : un trajet de 7 heures qui s’est transformé en périple de 10 heures… Une broutille quoi !!!!! Exténué mais content malgré tout, je rentrai chez moi vers les 01h30 du matin pour me lever 5h30 plus tard afin d’aller au bureau. Snif ^^

P.S. : A la relecture, je me sens obligé de préciser que j’ai passé un EXCELLENT week-end avec des coéquipiers muy sympathiques… A refaire donc ! ;-)

Révélation ? ouais...


Voilà, c’est fait… J’ai fini le livre «La quatrième révélation» ce matin même. Je m’étais attaqué à ce bouquin car on me l’avait «vendu» comme un «Da Vinci Code gay» et, du coup, je me suis laissé tenté… Ben oui, la curiosité (et ceux qui me connaissent savent comme je puis l’être, curieux ^^) a eu raison de moi et je voulais voir à quoi ça pouvait bien ressembler.
Donc, j’attaque la lecture de ce roman et je dois avouer que les pages s’enchaînent assez facilement… J’ai été cependant déçu dans la première partie du livre par l’intrigue : là où j’attendais des rebondissements à répétitions (ben, c’est comme le «Da Vinci Code» ou pas ?), je n’en vis que peu. En revanche, j’ai apprécié la relecture de vie d’un des apôtres, son ambiguïté et, de fait, le flingage en règle de certaine religion, que je considère comme hypocrite !!!! De ce point de vue là, je ne fus pas désappointé… bien au contraire !
Autre point intéressant que je trouve intéressant, les références perpétuelles à la mythologie greco-romaine… Tout, dans ce livre, s’y rapporte ; la référence est constante et le parallèle avec les religions monothéistes actuelles perpétuelle ! Jusqu’à l’aboutissement, la révélation finale (la quatrième donc !) qui ne nous est dévoilée qu’en toute dernière page… Et je l’adore cette révélation-là !!
Du coup, ce bouquin qui me décevait dans sa première partie a pris, à mes yeux, de la hauteur et toute sa saveur dans la deuxième partie. Ce roman que je trouvais quelconque au début m’a, au final, emporté plus loin que je ne l’envisageais malgré mes réticences initiales…Tout ça pour dire que, tout compte fait, j’ai apprécié ce livre même si, je le répète, le début et l’intrigue me semblent un tantinet faibles par rapport à l’argument de vente initial (i.e. Da Vinci Code gay). ;-)