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"Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms"... Merci Monsieur Pierre Doris ! Au fait, bienvenue sur le blog à Marko...

30 mars 2005

Une bien jolie adaptation

Hier soir, bien confortablement vautré dans mon canapé, je me suis mis devant mon petit écran pour regarder le seul et unique film proposé sur nos chères chaînes hertziennes : Effroyables jardins ! J’avais lu le livre il y a quelques années (deux peut-être ?). Un vrai plaisir… C’est la raison pour laquelle j’ai tout de même hésité avant de le regarder. Comme nombre de personnes, j’ai souvent tendance à être déçu par les adaptations cinématographiques de livres. En effet, le personnage principal de l’histoire n’a jamais, à la TV, les traits que vous lui aviez imaginés lors de la lecture… Et ça, c’est dommage, voire dommageable à la bonne appréciation du film.

Je me décide donc à visionner cette adaptation et là, c’est la surprise… agréable, je dois dire ! Le film est vraiment respectueux de l’ambiance qui se dégage du livre, avec son atmosphère à la fois drôle et dramatique. Un mélange savamment dosé des diverses facettes de l’humanité ! Sur fond de guerre mondiale, l’histoire est joliment portée par une palette d’acteurs tout à fait à leur place dans cette œuvre. A noter les interprétations justes de Jacques Villeret, André Dussolier et le si sexy Benoît Magimel (j’avais oublié combien il pouvait l’être… sexy !!!). Seul Thierry Lhermitte, à mon sens, n’y avait pas sa place, mais vous savez ce qu’on dit : des goûts et des couleurs…
Ceux qui me connaissent savent que je suis plutôt bon public et ne seront donc pas surpris si je leur dis que j’y suis allé de ma petite larme à la fin du film… vous savez quand arrive le générique ! Très sincèrement, je vous recommande - si vous ne l’avez déjà vu – de le visionner (il est sorti en DVD). Alors courez le louer… Vous m’en direz des nouvelles !

25 mars 2005

A fourbe, fourbe et demi...

Voilà quelques temps déjà que je n’ai pas alimenté ce blog… Il m’en fut fait le reproche, et plus d’une fois je dois dire. Mais que voulez-vous, il est des périodes durant lesquelles l’envie d’écrire, de s’exprimer est moins forte. Or, une conversation anodine (ou presque !) ce jour m’a rappelé un sujet vital dont je voulais vous entretenir depuis quelques temps déjà. Tel le tamagoshi moyen, je me suis donc nourri d’infos essentielles pour vous informer comme il se doit… et me revoici donc afin de vous alerter sur un sujet important voire primordial… comme toujours !
Je veux attirer votre attention et surtout vous mettre en garde contre un danger de la nature : je veux parler, bien sûr, du Daim du Japon. En effet, cet animal à l’allure douce, à la robe soyeuse et tachetée, aux cils de velours cache parfaitement bien son jeu, sa fourberie. Ne dit-on pas couramment : fourbe comme le Daim du Japon… Ah, vous ne connaissiez pas cette expression ? Pourtant, c’est une expression parfaitement courante dans mon entourage ; j’entends tous les jours dire : "cette personne est aussi fourbe qu’un Daim du Japon"… Enfin, bref, tenez-le pour acquis une bonne fois pour toutes : il faut s’en méfier !

© Patipat

Observons donc ce phénomène. Regardez-le approcher tout doucement, tête baissée, il vous fixe de son œil torve avec ce regard en biais qui se veut charmeur. Le cil est long et soyeux mais ne vous y trompez pas, c’est uniquement dans le but pervers de mieux vous observer à sa façon… fourbe ! L’approche est lente mais régulière et, une fois la proie à sa portée, la deuxième phase de sa tactique de séduction commence. Il se frotte langoureusement à vous (i.e. la proie de sa fourberie prochaine), sollicitant sournoisement quelques caresses qui vous amènent à baisser la garde. Une fois votre confiance gagnée, il dévoile alors sa fouberie suprême en vous arrachant la carte postale que vous teniez à la main (ben oui, si vous voyez un Daim du Japon, c’est que vous êtes au Japon, donc vous êtes touriste, donc vous avez une carte postale à envoyer… CQFD). Il la chope donc d’un mouvement de museau suffisamment vif pour que vous n’ayez pas le temps de réagir et commence à mâchonner ce merveilleux instantané que vous vouliez envoyer à vos amis pour preuve de vos vacances réussies.
A ce stade, il ne vous reste plus que deux options : vous résigner et lui céder la carte postale qu’il s’empressera de mettre hors de votre portée ou alors lutter en tirant sur ladite carte et lui arracher de la gueule ce qu’il en reste (sic !). Quel que soit votre choix, comme dans la fable, vous vous jurez – mais un peu tard – que l’on ne vous y prendra plus ! Alors, vert de rage de vous être fait couillonné par un Daim du Japon, vous n’avez plus qu’à courir au prochain magasin à touristes pour acheter une autre carte tout en maudissant ce maître ès fourberie…
Vous comprendrez donc aisément pourquoi - au Pays du Soleil Levant - ces bestioles errent librement dans les parcs environnant les temples. Le Daim du Japon est au temple shintoiste ce que l’oie était au Capitole de l’Empire Romain : un gardien ! Fourbe comme une Daim du Japon, vous disais-je…

P.S. : Je vous avais bien dit que l’expression était connue… Si elle ne l’était de vous, l’erreur est réparée et n’hésitez pas à l’employer !

17 mars 2005

Allo ? Madame Soleil… ?

Ca faisait bien longtemps que je n’avais pas râlé, alors j’y remédie. Alors voilà, comme tous les soirs et tous les matins, je jette un coup d’œil sur le bulletin météo afin de déterminer la tenue la mieux adaptée à la météo annoncée. Ce matin, je fus tout heureux de voir s’afficher sur la capitale des températures dignes d’un mois de mai : pensez un peu, 12° le matin et 20° l’après-midi !! Un rêve non ? Alors moi, confiant et ravi, je m’habille léger : T-shirt et petite veste légère. Je ne tenais pas à renouveler l’expérience d’hier où, vêtu de mon manteau, j’étouffais.
Ce qui devait arriver arriva : je sors de chez moi pour me diriger vers le métro. Et là, j’ai froid ! Ca commence bien. Arrivé au bureau, je sors régulièrement pour fumer ma clope (sic) et j’ai toujours froid… malgré les douces températures annoncées.

Alors, à ce stade, je pose la question : Mais que fait donc Météo France ? Doit-on se fier à leurs prévisions ou dois-je faire appel à Madame Soleil ? En attendant, moi je me gèle… Un élément de réponse, mon cher Mister Zefrog ? ;o)

P.S. : je viens tout juste de terminer la rédaction de ce post et le ciel se dégage… Aurais-je râlé trop tôt ? hi hi hi

10 mars 2005

Un jour, un mot : FICANASSE

Comme vous le savez sans doute (ou pas d’ailleurs), je ne suis pas - comme la plupart de mes concitoyens - un Parisien de pure souche… loin s’en faut ! Je suis du Sud comme le chante la vraie gagnante de la deuxième édition de Popstars : Chimène Badi. Je suis du Sud donc, et plus particulièrement de cet endroit ensoleillé que l’on nomme la Côte d’Azur, la vraie… celle qui est délimitée par les frontières avec l’Italie d’un côté et le département du Var de l’autre. D’aucuns voudraient que Saint-Tropez fasse partie de la cette même région… Que nenni ! Mais ce n’est pas le thème du jour.
Du Sud, je vins pour m’installer à Paris il y a tout juste quelques années (très peu ! lol). Et en tant que tel, j’en ai gardé quelques expressions pittoresques. Certaines sont à peine prononçables sur les terres nordiques (i.e. au nord de Valence, lol) sous peine de passer pour une être vulgaire. D’autres au contraire, sont totalement inconnues sur ces mêmes terres. C’est pourquoi, lorsque j’ai le malheur de m’écrier : «Oh la la, ça pègue !», la majeure partie de mon entourage me regarde, perplexe, interloqué, comme si je parlais une langue étrangère. Et pourtant, c’est du français… du sud, certes, mais français tout de même !
De même, hier soir, dans les vestiaires alors que je me revêtais ma tenue de volleyeur émérite, nous discutions et me suis autoproclamé «ficanasse» (Oh, je te vois déjà, mon cher Nico, acquiescer à la lecture de ces lignes, dodelinant du chef et approuvant… ça va !). Aussitôt le mot lâché, je vis le fameux regard perplexe (dont je parle plus haut) de mes interlocuteurs… sauf un ! Il a fallu, une fois de plus, que j’en explique la signification (ça sert toujours les cours de syntaxe et sémantique lol). Je la refais donc, rien que pour vous.
Vous n’êtes pas sans savoir que Nice et sa région fut de longues années durant sous tutelle italienne. Lorsque la région a été rattachée à la France s’est développé un langage typique de la région (appelons ce patois le Nissart… le T final étant prononcé). Le Nissart donc est un savant mélange de provençal et d’italien, bien dosé et agréable à l’oreille. Ce qui explique que certains mots locaux sont très souvent dérivés de la langue transalpine. C’est le cas de «ficanasse» qui provient de l’italien «ficcanaso», curieux en français. Or ce mot, en italien, est tiré du langage populaire car il désigne celui qui «fourre son nez» un peu partout, surtout dans les affaires des autres d’ailleurs. C’est la raison pour laquelle on désigne du doux qualificatif de «ficanasse» une personne qui aime bien se mêler des affaires d’autrui, quelqu’un qui serait un peu un docteur ès ragot, si je puis m’exprimer ainsi. Notons tout de même que, le gars du sud n’ayant pas un fond méchant, ce terme conserve malgré son sens une connotation gentille voire amicale. Ainsi, on traitera pas de ficanasse une personne que l’on ne peut définitivement pas supporter… Ce serait trop gentil pour cet individu !
Enfin et pour info, ficanasse est au choix un adjectif qualificatif ou un nom commun ; on peut même en tirer un verbe et déclarer que telle personne adore ficanasser, ce qui fait de lui (ou elle) un (ou une) ficanasse !
J’espère avoir apporté un peu de soleil dans votre journée car on en a besoin en ce moment. En tout cas, moi, ça m’a ramené quelques années en arrière (oh, pas très longtemps… deux ou trois ans tout au plus), lorsque j’étais encore étudiant à la fac de Nice et que nous avions créé un journal interne (à tirage très limité, je le concède) intitulé le «Ficanass’ Matin» qui mettait en exergue tous les bruits de couloirs glanés ci et là. Sic !!!

09 mars 2005

Une semaine et demie, c’est long !

Bon ben voilà, nous sommes mercredi et ça me remplit de joie dedans mon body (corps en anglais pour les anglophobes lol). Pourquoi ? Tout simplement parce que, ce soir, je reprends mes séances de volley-ball. Rendez-vous compte un peu : cela faisait une semaine et demie que je n’ai pas touché ni tapé dans un ballon de volley ! Une semaine et demie… c’est quand même hyper mega long non ?
Alors, ce soir, c’est la reprise : je vais retrouver ce fabuleux gymnase du 13ème au plafond trop bas, les autres membres de l’association volley-ballistique, l’ambiance drôle et loufoque,… C’est pas cool ça ? En tout cas, moi je trouve que ça l’est et, très franchement, ça me manquait… Alors, oui, j’exulte !
En plus, ça y est, nous avons constitué une équipe pour aller participer à un tournoi de volley à Montpellier, le week-end du 2/3 avril, au profit du Sidaction. Et ça aussi, ça me redonne la pêche ! Il est des petits plaisirs simples dans la vie quoi vous insufflent une énergie : le fait de savoir que je reprends le voilley ce soir après une courte pause en est un !
Alors, aujourd’hui, tout va bien… et planquez-vous les ch’ti gars : ce soir, Marko is back ! Wepaaaaaa

07 mars 2005

Froid dehors, doux dedans

Cela n’aura échappé à personne, la semaine passée fut l’une des plus froides que nous ayons jamais connues ! Le froid, la neige… tout y était. Pour couronner le tout, c’est durant cette semaine que j’ai dû me rendre plusieurs soirs d’affilée au-delà du périph’… Si c’est pas de l’aventure, ça ! Et comme un fait exprès, après mes pérégrinations vers des territoires jusqu’alors inconnus pour moi, j’ai accueilli à la maison des membres de la "belle famille". S’ensuivent, comme vous pouvez l’imaginer, les dîners à préparer, le surccroît de vaisselle, de rangement, de provisions… Bref, la semaine ne fut pas, loin s’en faut, la plus tranquille depuis le début d’année.
Quoiqu’il en soit, chaque chose ayant une fin, samedi arriva comme une libération : j’accompagnai tout ce beau monde jusqu’au train pour m’en retourner chez moi, comptant bien profiter de mon nid douillet, enfin tranquille ! Attention, je ne dis pas que j’étais mécontent de cette semaine un peu agitée, j’adhère simplement au vieil adage qui dit que "ça fait du bien quand ça s’arrête".
Me voilà donc de retour de la gare, j’en profite pour faire mes courses hebdomadaires au passage (ça aussi, au moins, c’est fait !) et, une fois les obligations satisfaites, me calfeutre chez moi, au chaud, dans mon home sweet home… Me croirez-vous ? J’ai passé le reste du week-end à traîner, flâner, musarder, flemmarder bien au chaud alors que le froid sévissait au dehors. Et là, ce fut le pied intégral ! Pas de contrainte, pas d’horaire à respecter si ce n’est sa propre horloge interne. Même le téléphone s’est retrouvé muselé (au passage, désolé pour les messages auxquels je n’ai pas répondu). Je n’ai eu qu’un seul regret, minime certes : ne pas avoir de cheminée afin de narguer encore davantage les basses températures extérieures. Mais bon…

La fin du week-end fut donc, vous l’imaginez, tranquille et reposant et - telle la larve moyenne - je me suis laissé vivre sans aucun assujettissement, comme j’aime le faire une fois de temps en temps. Et je vous prie de me croire quand je vous dis que c’est vraiment très agréable de se sentir bien au chaud et à l’abri… surtout après une semaine comme celle passée !

03 mars 2005

Voir Bobigny et mourir…

Je ne sais pas si vous êtes comme moi mais il est des villes ou des lieux qui, pour moi et a priori, dégagent une aura, une atmosphère. Bobigny rentrait, jusqu’à hier, dans ce cas de figure. Je ne saurais vous en dire la raison exacte mais je ne sais pas… il y avait pour moi à Bobigny (sans que je n’y sois jamais allé) comme un vent de culture, un élan de création artistique comme on pouvait en trouver dans le Saint-Germain des Prés de Sartre ou encore Juliette Greco. Encore une fois, ne me demandez pas pourquoi j’avais ce sentiment !
Seulement voilà, je m’y suis rendu plusieurs soirs d’affilée ces derniers jours, par la force des choses (et ça c’est déjà un exploit, pourceux qui me connaissent !). Et là, c’est le drame… Le mythe s’effondre, mes belles illusions envolées ! Je n’y rien trouvé d’autre qu’une ville de banlieue quelconque, plutôt une ville dortoir que ce lieu d’effervescence culturelle que j’imaginais. Certes, je suis un peu hâtif dans mon jugement puisque je n’ai pas visité la ville, ni même participé à sa vie culturelle, sociale ou quoi que ce soit. Mais vous savez comment se forment les impressions… Bon, et bien là, sur ce coup-là, l’impression est pas terrible !
En y réfléchissant un peu plus, je me dis que ma réaction est un peu voire complétement con puisque, des gens y habitant, la ville doit avoir certains atouts si ce n’est quelques charmes… que je n’ai certainement pas su découvrir ! Malheureusement, je crains que la première impression ne me laisse un souvenir négatif permanent… et ça, c’est dommage !
Par conséquent, pour moi et de façon définitive, ce sera "Voir Bobigny et mourir… mourir !"

P.S. : Je sais, ce genre de post ne fait pas avancer le schmilblick… et alors ?

01 mars 2005

Vu à la télé…

Hier soir, je rentrai d’un dîner au-delà du périph’ (sic !) et, arrivé chez moi, je m’installe confortablement (i.e. vautré dans la canapé, les cigarettes à portée de main) devant mon petit écran. Commença alors l’interminable séance de zapping destiné à trouver le programme idéal avant d’aller me coucher. J’arrive sur Pink TV et m’y attarde… C’est l’heure du "Débat" ayant pour thème : "le corps : culte gay ?". Forcément, je stoppe mon zapping éffréné pour écouter ce qui se dit sur le plateau joliment agrémenté, pour l’occasion, de spécimens aux pecs saillants savamment découverts. Juste de quoi attirer l’œil du téléspectateur ! Je précise bien l’œil, car l’esprit - lui - ne saurait l’être par les banalités échangées sur ce plateau…


Entre le monsieur "je suis bien foutu et je le sais et, en plus, je le montre car je viens sur le plateau torse nu", les deux ou trois créatures (je ne sais pas, je sais plus, j’ai pas pu les dénombrer !) "j’ai participé à l’élection Mister France mais j’ai un cerveau", le monsieur "oui j’ai de l’embonpoint mais je l’assume et je donne l'exemple" et le photographe "je profite de mon métier pour mater de jolis corps masculins dénudés"… Le tableau était au complet !
Entre deux banalités atterrantes échangées ente membres de cet échantillon représentattif de la gent masculine homosexuelle se glissait parfois une réflexion type "blonde" (que personne ne se sente visé c’est juste une image, une expression !). J’en ai relevé deux pour mon plus grand déplaisir :
On commence avec le joli monsieur "super bien foutu sans un poil de graisse et sans un poil tout court d’ailleurs" qui nous conseille gentiment de vivre pleinement son corps et de savoir s’accepter tel que l’on est. Lui a-t-on jamais signalé que c’est quand même nettement plus facile de débiter ce genre d’ineptie quand on a une silhouette qui correspond en tout point à celle véhiculée dans tous les medias comme étant LA silhouette qu’il faut avoir ? Faute de quoi, le regard des autres peut être un tantinet pesant par moments… Si si, je vous assure… On a beau se persuader qu’on a rien à faire du regard des autres, qu’on est au-delà de ces préjugés stupides, on en est pas moins touché ! La méthode Coué a aussi ses limites
La palme de la soirée revient à ces messieurs issus du concours Mister France qui nous dévoilent les coulisses de cette compétition. J’en suis encore tout ému à l’idée de vous dévoiler ce scoop : Contrairement aux idées reçues, les candidats au titre tant convoité "ne se tirent pas dans les pattes comme leurs consoeurs candidates au titres de Miss France". Alors là, les bras m’en tombent devant mon petit écran… Quoi ? Ces messieurs concourrent pour un même titre et il n’y aurait aucun coup bas entre eux, aucune vilennie ? Pas la moindre méchanceté à l’égard de ce concurrent qui pourrait ravir le titre ? Ah, vraiment, je suis déçu, désappointé, voire atteré ! Qu’est donc la légendaire rage de vaincre devenue ? Bien évidemment, un peu primaire, je pensais qu’un tel regroupement de "bêtes à concours" comprenait fatalement un ou plusieurs individus homosexuels qui, avec leur hargne et leur malignité légendaires, serait prêt à toutes les bassesses pour accéder au rêve final… Même pas ! Encore un mythe qui s’effondre…
Sur ces bonnes paroles assénées, je décide d’aller me coucher pour réfléchir à ces bonnes paroles… Eh bien, j’ai dormi mais je n’y ai pas réfléchi ! C’est moche !
Tut tuuuuuuuuuuuuuuuuut !!!!!!