.comment-link {margin-left:.6em;}

"Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms"... Merci Monsieur Pierre Doris ! Au fait, bienvenue sur le blog à Marko...

16 juin 2005

Petit conte incitatif…

Il était une fois un bonhomme, un ami d’ami… le mien en l’occurrence puisqu’il s’agit de mon meilleur ami (je serai là, toujours pour toi, n’importe où quand tu voudras… Oh, ça va Lorie, clos ta bouche !!!) qui avait une très jolie plume. Or, cette plume-là, il ne la mit à la disposition des autres que sur le tard ! Malgré les encouragements de son entourage, malgré les incitations incessantes de notre part, rien n’y fit. Que voulez-vous ? Ne se sentant pas prêt, il préférait garder ses écrits bien au chaud pour l’instant. Jusqu’à ce que le déclic se produise enfin, et là rien ne put plus l’arrêter. Les textes de chanson, la pièce musicale (cf. sur son blog) et bien évidemment le roman…
Un jour donc, il m’appela, tout excité, m’annonçant : « Ca y est, j’y suis ! Je me lance enfin dans l’écriture de mon premier roman ». Et là, je compris à son ton qu’il avait enfin franchi le cap et avait pris la décision de publier ses textes !!! Il était temps et, comme l’a dit de fort belle façon un certain Jean de la Fontaine, je me dis en moi-même (lol) : rien ne sert de courir, il faut partir à point... Et là, de toute évidence, nous y étions, le départ etait donné… ouf !!!!
Les jours passèrent, les semaines tout autant… Arriva l’heure de la relecture que mon écrivain d’ami me fit l’honneur de me proposer. De relecture en corrections, de débats sur telle tournure de phrase en réécriture pour donner du punch, le manuscrit partit chez un éditeur et le résultat est

Morale : Pas grand chose à rajouter si ce n’est que j’adore ce roman et je puis le dire de façon tout à fait impartiale. L’écriture au style rapide donne du rythme et de la force au récit. En plus, c’est très drôle !!!! En un mot comme en cent : courez l’acheter, c’est un pure merveille, que dis-je… une grand moment de sourires entendus et vous y reconnaîtrez même certains membres de votre entourage !!!
Pour ceux qui auraient manqué le lien dans ce post, vous pouvez l’acquérir - et je vous y encourage ! - en cliquant ici. Ah !!! J’allais oublier le titre : « Détestable »… Tout est dit...

08 juin 2005

Francesca contre-attaque

Voilà, ma trilogie est là, les choses auront été plus rapides que prévu ! Francesca est donc bien revenue sur sa décision initiale : le pot-au-feu a vécu et n’a pas fait long feu… Je passe sous silence, par souci de vous épargner, les longues réflexions sur le thème «Dois-je acheter une grosse marmite susceptible de contenir tous les ingrédients ?» ou encore «Puis-je cuire le pot-au-feu en deux temps ou dans deux cocottes différentes ?» qui ont amené Francesca à une décision définitive : non au pot-au-feu !
S’ensuit une série de questions visant à déterminer la nature du plat principal du dîner… Après maints détours dans la réflexion, son choix s’arrête sur des tomates farcies. La choix fixé, reviennent alors les inévitables questions : ai-je les ustensiles adéquats ? quelle quantité ? cela sera-t-il suffisant ? Bref, les inévitables questions que Francesca se pose systématiquement avant d’établir un menu. Julie et moi parvenons à la convaincre de ne pas se limiter aux tomates mais d’y adjoindre plutôt des courgettes farcies, histoire de créer une mixité bien plus agréable. Et là survient LA question cruciale : comment faire la farce ? Je vous prie de me croire que jamais sujet culinaire ne me fit rire, voire m’esclaffer, à ce point !!! Quelques recommandations plus tard et quelques «foutages de gueule» aussi d’ailleurs, nous connaissons enfin le menu de vendredi dressé par Francesca : un panaché de tomates et de courgettes rondes farcies… ouf !!!
Sur le chemin du retour au bureau, nous nous arrêtons sur le marché du coin et achetons les courgettes afin qu’elles soient farcies comme il se doit vendredi…
Ainsi se termine donc le troisième volet de cette trilogie «francesquienne» au sujet de l’art culinaire… C’est la fin de cette quête romanesque de la recette idéale !
Je vous l’avais bien dit que j’arriverai à faire une trilogie de ce personnage non ?

Le retour de Francesca aux fourneaux

Eh oui, Francesca revient, toujours aussi ennuyée avec ses problèmes de cuisine. Car Francesca reçoit ses amis vendredi soir et s’est mis en tête de leur préparer un pot-au-feu. Certes, la saison ne s’y prête guère, en théorie, mais au vu de la météo que Dame Nature nous prodigue actuellement, le raisonnement tient la route. Je me propose donc de l’aider dans la mesure des mes moyens et lui trouve sur internet des recettes de base de pot-au feu (oui, parce que dans le livre de recettes qu’elle a acquis, le pot-au-feu n’y figure pas !). Francesca - toujours aussi consciencieuse - se plonge donc dans la lecture et croise les informations pour la substantifique moelle, si je puis m’exprimer ainsi !
Devant son enthousiasme non modéré, j’aborde avec elle le «problème» du contenant, à savoir dans quoi va-t-elle faire cuire son pot-au-feu ? «Ben dans ma cocotte !» répond-elle le plus naturellement du monde. C’est là que je m’aperçois que Francesca n’a jamais cuisiné ce plat… J’attire donc son attention que le fait la viande pour les 5 convives plus l’eau de cuisson et les légumes auront tôt fait de remplir ladite cocotte. Soudain, je vois ma Francesca changer de couleur : la perspective d’aller éventuellement acheter une marmite conséquente ne l’enchante guère… Il faut dire qu’elle n’est pas adepte de l’achat d’ustensiles culinaires ; l’idée de dilapider son énorme salaire dans les objets destinés à la cuisine lui est hostile ! Et pourtant, si elle tient à faire son pot-au-feu pour 5 personnes, elle devra bien s’y résoudre…
Pauvre Francesca, obligée d’acheter une marmite de toute urgence ! A moins qu’elle ne décide au dernier moment de changer de recette… Mais ça c’est une autre histoire ! Je vais peut-être parvenir à en faire une trilogie, c’est total trendy actuellement… lol

07 juin 2005

En chantant...

Parce que j'ai toujours aimé cette chanson, parce que j'en ai toujours aimé les paroles, parce que j'en aime bien les interprètes... parce que tout, c'est énorme, c'est fantastique !

La jalousie
Te crèvera le cœur
Tu attends tu guettes
Tu épies tu pleures
A ta merci
Tu voudrais voir
Cette femme cette pute
Cette salope qui traîne
A ta merci
Tu voudrais avoir
Cette pute cette femme
Cette salope chérie
Merde à la fin
Tu voudrais avoir
Cette femme que tu aimes pour toi seul

...

La jalousie
Te crèvera le cœur
Tu attends tu guettes
Tu épies tu pleures
A ta merci
Tu voudrais avoir
Cette femme cette pute
Cette salope qui traîne
A ta merci
Tu voudrais avoir
Cette femme cette pute
Cette salope chérie
Merde à la fin
Tu voudrais avoir
Cette femme
Que tu aimes si fort

Maintenant n'est-elle pas
Juste en train de te trahir ?
Est-elle encore à toi ?

01 juin 2005

Histoire de conjonction

Ce matin (entre deux tâches hyper mega top urgentes à faire en super priorité même si, au final, ces tâches une fois accomplies ne seront prises en compte que dans deux jours !!!), je fais un saut en vitesses sur les blogs que j’ai l’habitude de visiter et je m’aperçois qu’effectivement je n’ai pas mis à jour le mien depuis belle lurette. Shame on me baby !!! Tentons donc de réparer cette énorme bévue…
Or donc (pour reprendre l’expression favorite d’un autre bloguien !), je reviens deux secondes (pas plus ça fait mal sinon…) sur mes vacances : en un mot comme en cent… SUPER !!! Quelle joie de déconnecter complètement du monde du travail, oubliées les galères quotidiennes, les tracas habituels et tout ce qui va de paire… Mais ça, vous connaissez ! Mon seul souci durant cette période : choisir la bonne orientation pour bien être face au soleil et obtenir ainsi un bronzage le plus uniforme possible ! Deux semaines de ce traitement, je vous jure que ça vous requinque…
Retour sur Paris pour la troisième et dernière semaine de vacance, préparation au tournoi de volley (deux jours, 17 matches, j’ai fini sur les rotules moi !). Je laisse le soin à d’autres de raconter ce week-end (Catwoman, la Guerrière, Zefrog,…), il le font tellement bien ! Pour ma part, je veux seulement préciser que j’ai adoooooooooooré jouer avec mes coéquipiers ; j’ai trouvé l’équipe sympa, efficace et très agréable ! Bref, un excellent week-end sportif dont je garde un délicieux (lol nico) souvenir… à tel point que nous envisageons de conserver la formation pour d’autres tournois, notamment Milan et Barcelone en septembre prochain… yesssssssssssssssssssssssssssss !!!!!!!!!!!!
Après ça, d’un coup, c’est le drame : la reprise du travail ! Inutile de vous dire que j’y vais à reculons, évidemment mais comme vous le savez, quand faut y aller, faut y aller. Alors j’y vais, sans entrain ni joie mais je m’y traîne… tous les jours, inlassablement, attendant avec une impatience grandissante l’arrivée du week-end. Elle est pas belle la vie ? ;-)
En parlant de vie, elle est ainsi faite, de hauts et de bas alternatifs qui vous font aller de l’euphorie la plus extrême à la lassitude la plus grise… Dans le deuxième cas, il ne reste qu’une chose à faire : baisse la tête et attendre qu’elle ne passe. En tout cas, c’est ce que je fais dans ce genre de situation en entrant dans ce que j’appelle ma «phase de non-communication» : le portable est en mode silencieux sinon fermé, les mails à peine lus, le week-end est passé à la maison sans voir personne, le blog non mis à jour… Que ceux qui me connaissent ne s’en inquiètent pas outre mesure, ils le savent, cet état va vite passer ! La fatigue – morale et physique – m’ont même amené à ne pas aller à une séance de volley-ball, trop épuisé, trop vidé ! Par-dessus le marché, j’ai découvert un nouveau jeu on line qui m’a un peu vampirisé, je le concède. Histoire de m’enfermer encore davantage dans mon isolement volontaire…
Petite bouffée d’air pur vendredi dernier : je suis allé voir la pièce co-écrite par Nico, «les mots d’amour», joli moment que je vous conseille d’aller voir à la rentrée si elle se joue sur Paris. Je n’en dirais pas plus, je garde mes commentaires pour l’intéressé… C’est mon côté possessif qui doit ressortir fortement dans ces moments-là, je pense… lol
Bref, j’en suis là de ma réflexion sur mon état d’esprit actuel et je me suis dit que ça me ferait le plus grand bien de coucher sur la toile mes sentiments actuels pour m’aider à les évacuer. En plus, ça me permet de mettre à jour mon blog… C’est ce qu’on appelle faire d’une pierre deux coups non ? En conclusion et pour répondre à ceux qui me reprochaient de ne pas mettre à jour mon blog, toutes ces conditions réunies font qu’effectivement j’ai pris du retard et je m’en excuse si tant est que j’aie besoin de le faire… Quand je vous dis que tout n’est qu’une historie de conjonction !

Tut tuuuuuuuuuuut