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"Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms"... Merci Monsieur Pierre Doris ! Au fait, bienvenue sur le blog à Marko...

31 janvier 2005

Auf wiedersehen, Mannheim

Voilà, voilà… Mannheim, c’est déjà du passé. Le week-end est terminé, la semaine a repris ses droits. Ce pourrait être la fin de ce post mais je vois poindre dans vos yeux l’impatience caractéristique de des lecteurs assidus que vous êtes ! Pour ménager le suspense comme il se doit, je ne vais pas vous dévoiler immédiatement le résultat de ce tournoi en terre teutonne. Je vais plutôt me conformer à la description chronologique des faits pour en arriver aux résultats.
Par ce bel après-midi pluvieux de vendredi, nous partîmes donc à 7 et arrivâmes, toujours à 7, à Mannheim. Périple sans embûche si ce n’est quelques flocons parsemant l’autoroute, qui m’ont rendu un peu nerveux et moins tranquille temporairement. Nous voici donc rendus dans cette belle contrée allemande qu’est Mannheim (belle, belle,… il faut le dire vite car nous n’eûmes pas le temps de visiter). Juste au moment de quitter l’autoroute pour rejoindre le centre ville, la voiture leader (celle avec le plan et dont je tairais le nom des occupants !) nous plante une belle accélération et trouve la sortie adéquate (puisque, dans cette voiture, ils avaient le plan). Par conséquent, nous, dans la deuxième voiture, avons raté la bonne sortie (puisque nous n’avions pas de plan et plus de guide) et fûmes, par la même, condamnés à emprunter la prochaine sortie et à nous débrouiller par nos propres moyens pour retrouver le point de rendez-vous. Heureusement, nos années d’études d’Allemand nous revinrent suffisamment en mémoire pour nous diriger dans cette contrée inconnue. Nous parvînmes enfin à la gare centrale (Hauptbanhof en langage local) et, après avoir dûment fait entendre notre mécontentement aux occupants du premier véhicule, nous rendîmes au point de rendez-vous : un BAR ! Pour une bonne nouvelle, c’est une bonne nouvelle !
Une fois installés convenablement, nous passons commande. Et là, deuxième bonne nouvelle de la journée : ils ont du Ricard ! Elle pas belle la vie ? Va pour un Ricard, puis un deuxième… Et là, le tonus me revient d’un seul coup ! Présentations avec nos homo(?)logues allemands, règlements des derniers détails logistiques pour le logement, papotages en tous genres… Le Ricard aidant, il fait moins froid tout à coup et c’est tant mieux car je ne vais pas supporter ce froid extrême très longtemps. Une fois les premiers contacts pris, nous suivons gaiement le troupeau pour nous rendre dans un restaurant turc… Et là, vous savez ce que signifie mémorable ? Bon, et ben là… Mémorable ! (Merci Muriel). Je ne sais pas si c’est la chaleur ambiante ou quoi, mais je me suis un peu lâché (et ça, c’est un euphémisme !). Je pense que les serveurs et autres clients de ce restaurant vont longtemps se souvenir du passage de ce groupe de Français ! Car, fidèle aux recommandations de Sylvie J., je ne pouvais pas faire dans la médiocrité, c’est le moins que l’on puisse dire : tout en nuances et subtilités, j’ai agrémenté l’ambiance un peu cosy de quelques remarques - acerbes mais ad hoc - et de quelques couplets de nos plus grands standards nationaux. J’imagine d’ores et déjà certains d’entre vous sourire à l’évocation de cette prestation. Je dis bien prestation car, à ce niveau de performance, on peut décemment parler de show… ;o)

Le repas terminé et la note réglée, nous nous rendons chacun chez nos hôtes respectifs pour dormir, nous reposer avant d’affronter le tournoi du lendemain. Mais une épreuve préliminaire m’attendait : le lit ! Je ne vous l’ai peut-être pas signalé (ça c’est sûr, je ne m’en suis pas vanté !) mais, la veille du départ, je me suis subrepticement rendu chez Décathlon et, correctement camouflé afin que personne ne me reconnaisse, j’ai acheté un sac de couchage !!!! Si, si, vous avez bien lu : Marko a acheté un sac de couchage… Si je n’avais pas un tournoi de volley-ball, les bras m’en seraient tombés tellement ça m’a surpris moi-même. Imaginez donc la scène : moi en train de choisir un sac de couchage dans les rayons d’un magasin de sport pour, au final, l’acheter… J’aime autant vous dire que, arrivé à la caisse, j’ai fait fissa ! Me voilà donc saucissonné dans mon sac de couchage flambant neuf pour dormir sur un… matelas pneumatique ! Oui, ma brave dame, un matelas pneumatique… Quand je vous dis que le week-end fut épique… Enfin, la nuit s’est terminée tant bien que mal et arrive le grand jour du tournoi !
Je ne vais pas m’éterniser sur la façon dont s’est déroulé le tournoi en lui-même. Pour faire bref, sachez que, comme je le redoutais, l’équipe s’est révélée techniquement plutôt bonne mais avec des lacunes au niveau de la régularité et du moral… On ne saurait tout avoir dès la première fois mais j’aurais bien aimé quand même. Qui a dit : «Et pour des coups d’essai, veulent des coups de maître» ? Merci, vraiment, Monsieur Corneille ! Nous vous avons fait mentir… Bref, certains compartiments du jeu laissaient encore à désirer (c’est beau non ? On dirait un vrai sportif s’exprimant après une compétition)… Résultats des courses ou, plus exactement, de la journée : 3ème… Pas terrible, surtout si l’on considère que 4 équipes étaient en compétition dans notre poule ! A la décharge de l’équipe, sur l’ensemble des matches, nous étions à 6 points du premier ; pas mal quand on sait que les matches se jouaient en deux sets de 20 points chacun. On se console comme on peut ! ;o)
En fin de journée, fourbu et - je dois l’avouer aujourd’hui – quelque peu déçu, j’ai vécu la soirée de festivités avec moins d’enthousiasme que lors de la précédente soirée… pour finir par aller me coucher vers minuit, ce qui est, somme toute, assez tôt dans ce genre de manifestation ! Et j'en profite pour m'en excuser auprès de mes coéquipiers que j'ai lâchement abandonnés. Tant pis, la fête n’en sera que meilleure lors de prochain tournoi… Toujours la bonne vieille rengaine des raisins trop verts… ;o) S’ensuit une journée relativement calme par rapport aux deux précédentes avec brunch convivial mais copieux. Puis, enfin, le voyage de retour dont je vais vous épargner les détails.
En conclusion, et puisqu’il faut une morale à chaque histoire, comme dans la fable, je jure – mais un peu tard – que l’on m’y prendra plus… Juré, promis, craché… Oups, pardon, Madame, je ne vous visais pas ! Et, au final, j’ai quand même passé un excellent week-end…

27 janvier 2005

Emmène-moi à Mannheim !

Cher journal,

Tu sais que je suis un garçon discipliné et respectueux des régles édictées. Or, le Premier ministre a récemment dit qu’il fallait «prendre exemple sur la jeune chanteuse Lorie». Alors, respectueux des instances, je vais suivre l’exemple de la chanteuse pour crier haut et fort :

C’EST LE WEEK-END !!!!!

Comment cela se fait-ce ? Tout simplement, j’ai posé une journée de RTT pour demain… Et ça c’est le pied ! Un petit week-end de trois jours qui se profile… hummmm ! Par conséquent, ce soir, je suis en week-end. Et je crie à qui veut bien l’entendre ma joie et mon bonheur.
Bon, je ne vais pas non plus te saouler trois heures, cher Journal, avec ma joie indescriptible mais j’avoue qu’il y une raison à ce choix de week-end prolongé : je pars demain pour Mannheim (Allemagne) avec six autres compères de l’association Contrepied pour un tournoi de volley-ball. Nous allons donc rencontrer des équipes étrangères dans une compétition internationale (eh oui !!!) contre des beaux specimens d’autres pays, mais tout contre alors…
D’un point de vue purement sportif, nous avons formé une équipe plutôt performante sur le papier ; reste à voir la solidité morale du groupe face à la compétition. D’un point de vue festif, en revanche, je suis sûr que les trois jours vont être un peu, comment dirai-je… chargés ! Que ce soit dans un cas comme dans l’autre, nous allons tenter de représenter fièrement la France. Comme le disait Sylvie Joly : «Un Français à l’étranger ne peut pas se permettre d’être médiocre… en tout cas, moi, je ne le pourrais pas !». Promis, juré, craché, nous allons faire notre maximum pour être à la hauteur. Personnellement, je vais tenter, lors de la fête post-tournoi, dêtre à la hauteur (lol) de la réputation des frenchies, pas d’envolée lyrique, pas d’empoignade verbale avec un quelconque chauffeur de taxi, no «tuut tuut».. ; Tout ça sans obligation de résultats évidemment !


Rendez-vous donc lundi pour connaître le bilan du week-end… Et d’ici là, bon week-end à toi, cher Journal, et à vous autres, chers lecteurs bloguiens !

25 janvier 2005

A n’utliser qu’en cas d’extrême urgence…

En cas d’extrême urgence, si vous n’avez aucune autre solution de rechange, n’hésitez pas faire appel à mes services ! Si, par le grand des hasards (ou de malchance en l’occurrence), l’un de vos collaborateurs venait à être arrêté pour cause de maladie, ne vous tracassez pas, je suis là : ne vous embarrassez donc pas et faites appel à moi. Je suis en mesure de remplacer qui que soit au pied levé, je suis le chaînon remplaçant, j’ai le dos large ! Je suis un peu l’homme qui tombe à pic, le Monsieur "vous avez un souci, pas d’inquiétude, je vous trouve une solution à TOUS vos problèmes"… Comme si je n’avais déjà rien à faire…
Vous ne le saviez pas ? Moi non plus, je m’en suis aperçu ce matin… grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !!!!!!!!

24 janvier 2005

Showbiz, showbiz, quand tu nous tiens !

Voilà, le week-end est terminé, la vie de bureau reprend son cours… Même pas mal ! De toute façon, le week-end fut calme et tranquille même si beaucoup de ménage, plein de rangement… Rien de bien extraordinaire, quoi ! Sauf que j’ai très peu parlé à mon Nicoloo… Et ça, c’est pas normal. Et pour cause, les affaires s’annoncent plutôt pas mal pour lui actuellement, professionnellement parlant j’entends (le reste, ça s’appelle la vie privée !). Je dirais même que tout se présente plutôt bien. Imaginez un peu : il se permet de donner des cours d’expression scénique pour des gens reconnus dans la profession. Il officie donc dans les écoles de chant de Jasmine Roy ET Richard Cross… et oui, M’ssieurs Dames, on connaît du beau monde !
Débuts de carrière prometteurs, disais-je donc, mais qui sont un peu chronophages (lol). Pensez donc, nous ne nous sommes pas vus depuis trois semaines ! C’est énorme… Certes, nous nous appelons tous les jours pour bavarder, discuter, papoter mais d’échange de visu… aucun. Nous décidons de convenir d’un petit apéro pour se voir et alors que nous cherchions une date commune, voilà mon Nicoloo qui m’assène un magistral : "Attends, je regarde sur mon planning". Non mais je rêve : il regarde son planning pour qu’on se voie ? Elle est pas chouquarde celle-là ? Il ne va quand même pas me faire le coup du "je suis over charrette derborded"… à moi ? Et bien, si, il a osé. Lui qui, dans un de ses commentaires si joliment écrits, clamait à mon égard : "… mon meilleur ami, mon frère, mon inévitable, mon indicible, mon inexorable, mon mien…". Non mais je vous jure, ces gens du showbiz (là, à la lecture de ces mots, il va bondir ! hi hi hi)… Je crois que je vais songer à lui offrir un joli organizer avec fond d’écran personnalisé du genre : "Marko existe encore"… non ? C’est une bonne idée pour me rappeler à son bon souvenir ! lol
Bon, allez, j’arrête de t’accabler de la sorte en public, mon Nicoloo… je plaisante évidemment car tu es aussi "mon meilleur ami, mon frère, mon inévitable, mon indicible, mon inexorable, mon mien…" et je suis très content et fier de ce qui t’arrive en ce moment. Qui plus est, tu sais pertinemment que je ne te tiens aucunement rigueur de genre de sortie , pas de ça entre nous, chou ! J’ai hâte de voir sur scène et sur papier tes œuvres (car, non content de donner des cours, il écrit de façon délicieuse !)… Tu sais de quoi je parle ! Bref, tout ce speech "bloguien" n’est, en fin de compte, qu’une façon détournée de te dire combien ton amitié est importante pour moi et je crois bien ne te l’avoir jamais dit. C’est fait et en public de surcroît…
zouxxxxxxxxxxxxx mon Nicoloo et à ce soir !

21 janvier 2005

Pie ou vipère ?

Je suis toujours fasciné et étonné lorsqu’une personne lambda que je côtoie - sans plus -, dans le cadre du travail j’entends, me propose d’aller déjeuner car «ça fait teeeeeeeeellement longtemps qu’on a pas déjeuné ensemble !». Etonné en effet, car de deux choses l’une : soit je suis parano à fond, soit je me trompe complètement sur moi-même. Reprenons donc les deux aspects, point par point.

Parano, disais-je car je ne peux m’empêcher de me questionner sur les raisons de ce type d’invitation. Les motivations précises de ce genre d’invitation me laissent perplexe : la puissance invitante le fait-elle parce qu’elle est seule ce jour-là ? Ou bien parce que, n’ayant rien de plus intéressant à faire ce jour-là, elle se met en tête de parler avec moi à bâtons rompus afin de me soutirer quelque information, je ne sais pour quelle raison. Me prendrait-on pour une pie, une oie blanche que l’on pourrait plumer sans que je m’en aperçoive ? Heureusement, à retors, retors et demi ; je ne suis certainement pas né de la dernière pluie (même si je sors à peine de l’adolescence… lol) ! A-t-on encore l’outrecuidance de me considérer comme une pie bavarde qui piaille à tout va et que l’on pourrait faire parler sur tel ou tel sujet à sa guise… permettez-moi d’en douter !

Ou alors, peut-être, me trompé-je sur mon compte ? Je m’explique : peut-être, à l’insu de mon plein gré, suis-je une personne qui parle aisément d’un tel ou d’un autre, semant à tout bout de champ son venin, crachant, feulant tout son saoul ? J’avoue que l’idée me plaît et me séduit… mais non, je ne suis pas celui que vous croyez, ma brave dame ! Certes, je sais le faire et de fort belle manière, qui plus est, mais il faut d’abord que l’on m’ait cherché pour que j’en arrive là. Bon, c’est vrai, faut pas non plus me chercher bien longtemps... mais quand même, un peu ! Cela reviendrait à dire que je suis une vraie vipère, à la langue bifide mais horriblement volubile. Je n’en suis pas convaincu non plus.

Voilà où j’en suis de mes réflexions. Evidemment, je n’ai aucune réponse ferme et définitive (oui, c’est mon dernier mot… et alors ?) ça ne fait pas avancer le schmilblick… pas grave ! Tout me fait penser, à la relecture, à un vieil épisode d'Ab Fab et ça, ça me plaît…
Alors, welcome dans le le wonderful word des RP, sweetie darling !!!

20 janvier 2005

Les bienfaits d’une bonne coupe

« Il y a des jours… et des lunes », selon Lelouch… Oui, ben, aujourd’hui, c’était plutôt la lune qui était là ! Inutile de vous décrire donc l’état d’esprit dans lequel j’ai passé la journée : journée de merde, avec un moral au plus bas, d’une morosité à toute épreuve… Ne me demandez pas pourquoi ? Je n’en ai aucune idée, la journée s’est déroulée sous de mauvais auspices, un point c’est tout. Et, dans ce cas de figure, il ne vous reste plus qu’une chose à faire : courber l’échine et attendre que ça passe… J’ai donc pris mon mal en patience et compté les heures.


En sortant du bureau, sur le chemin du retour, je décide donc de rafraîchir ma si jolie crinière (lol) et voilà que j’entre chez le coiffeur pour me faire ratiboiser la tête. Bon, vu l’état avancé de mon « début de calvitie », ce fut rapide ! Mais intense… Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais la sensation de ces mains s’affairant sur mon cuir chevelu a un effet euphorisant sur ma personne et, surtout, sur mon moral. Je suis donc ressorti du salon regonflé à bloc, le sourire aux lèvres… les affres de la journée, oubliées ! Merci donc Monsieur le coiffeur…

Vous vous en foutez peut-être mais j’avais envie de partager avec vous ce remède aux mauvais jours. Sur ce, je vous salue bien bas et vous embrasse…


P.S. : à la lecture du titre, certains d'entre vous ont pu penser que je composais une ode à la coupe... de champagne ; sachez, pour votre gouverne, que ça marche aussi ! ;o)

19 janvier 2005

Taper dans la balle !

En relisant les divers post de ce blog (c’est un peu ça aussi le narcissisme !…), je me rends compte que je ne vous ai pas encore parlé d’une activité importante dans ma vie. J’en vois déjà qui sourient… Non, je ne vous parlerai pas de sexe mais plutôt d’un autre genre de sport qui se joue avec un ballon. Ceux qui me connaissent savent pertinemment qu’il n’est nullement question de foot. Franchement, ai-je la tête d’un footballeur ? ;-( Non, non, je veux vous entretenir de volley-ball ! Petite précision : le volley-ball ne se joue pas avec des paniers latéraux et un gros ballon orangé… lol
Pour ne pas faire comme tout le monde, je me fixe des résolutions à tenir lors de la rentrée scolaire. Par conséquent, en septembre 2004, j’ai pris une bonne résolution : reprendre le sport ! Drôle de gageure… Après 10 bonnes années d’inaction - au bas mot -, reprendre un sport n’est pas de tout repos, si j’ose dire. Je passerai sous silence les courbatures consécutives aux premières séances. Je préfère me souvenir des joies procurées par cette reprise…


J’ai donc pris les affaires en main et me suis inscrit dans une association de volley-ball, très gaie dirai-je… ;-) Son nom : Contrepied. Tout est dans le nom… Je fus agréablement surpris de constater que la technique revenait très vite (vi, vi, j’en avais déjà fait dans mes tendres années !). Les réflexes aussi… Ce qui me ravit par-dessus tout, c’est l’excellente ambiance qui règne dans cette association. Bien évidemment, comme toujours, j’ai été dans un premier temps très discret, le temps de l’observation. Celui-ci passé, je me suis un plus lâché et là, ce fut le drame pour les autres : Finis le calme et la tranquillité ! J’ai révélé mon vrai visage… Le regrettent-ils ? Je ne le sais pas, il faudrait le leur demander… En même temps, c’est pas bien grave, c’est dans ma nature (tout comme Ballisto !) et ceux qui n’aiment pas… Ca ne m’a pas empêché de me faire des copains :
Kevin : la mèche blonde lui va à ravir… lol
Sébastian (alias catwoman) : langue de vipère… tout comme moi !
Nicolas (nicozefrog) : humour décalé, voire torturé, et très personnel mais adorable !
Benoît : Mister auto-flagellation pour les 10 années à venir… on aime bien quand même… lol
J’en oublie très certainement… Qu’ils me pardonnent d’avance !
Voilà donc ce nouvel univers que je redécouvre depuis septembre et qui me donne une pêche, tant physique que morale. J’en profite au passage, pour préciser à certaines personnes (qui ont le sobriquet facile !!! lol) que je joue principalement au poste de passeur donc inutile de critiquer mes attaques… J’en fais très peu ! Inutile également de songer à m’affubler d’un surnom ridicule qui ferait allusion aux smashes… si tu vois ce que je veux dire, mon Nicoloo ! Ceci dit, on travaille, avec Kevin et Sebastian principalement, à améliorer et diversifier nos attaques pour, peut-être un jour, réussir la fameuse technique dite de "l’attaque laser" (ceux qui ont suivi Jeanne et Serge comprendront…). Mais ce n’est pas évident car cela demande un bon "toucher de balle" (oui, je sais, je tends le bâton pour me faire battre, elle est un peu facile !) et une régularité exemplaire, j’y travaille donc…
Tout ce bla-bla pour vous dire que, ce soir, je vais donc à ma séance d’entraînement de volley pour taper dans la balle et j’en suis plus que content… Si j’ai pu dire, dans un précédent post, que "je déteste les lundis...", je peux tout aussi bien clamer haut et fort que j’adore les mercredis et les vendredis !

18 janvier 2005

Un jour, un mot : CHRONOPHAGE

Dans un monde où tout va de plus en vite, il en est de même pour le langage qui voit de jour en jour son vocabulaire s’enrichir, des mots tomber en désuétude, des néologismes s’installer. Ainsi, je vous présente aujourd’hui un mot que l’on retrouve toujours davantage dans la bouche de nos interlocuteurs, dans les colonnes des journaux et sur les pages web : CHRONOPHAGE.
Il a été créé à partir de deux mots :
- Chrono, emprunté du grec "kronos" (d’où le "ch" qui se prononce "k") et qui signifie "temps" : élément de composition signifiant "temps" et servant à former divers termes scientifiques.
- Phage, suffixe emprunté également du grec "phagein", qui signifie "manger".
Vous aurez donc compris la signification de ce terme : dévoreur de temps.



Je ne sais pas si vous l’avez remarqué également mais j’ai récemment constaté une recrudescence dans l’emploi de ce terme. C’est ainsi que l’on lira en surfant sur le web que la télévision est chronophage. Dévoreuse de temps, elle l’est effectivement puisque des études montrent que le nombre de minutes passées quotidiennement devant son poste de TV augmente d’année en année.
Autre activité chronophage : la création et l’entretien d’un site web ou même d’un blog… ;-) Pour peu que vous choisissiez d’avoir un site esthétique ou régulièrement mis à jour, vous risquez d’y passer un temps non négligeable. En même temps, si créer le blog est "dévoreur de temps", le lire l’est tout autant et, pour ça, je vous remercie chers lecteur assidus et fidèles.
Je vous épargnerai le couplet sur les personnes tout fraîchement promus d’écoles et/ou de formations en marketing, usant et abusant de néologismes à tout bout de champ, pour qui telle tâche est "bien trop chronophage pour le résultat obtenu"… lol
Avant de conclure, laissez-moi vous citer pêle-mêle quelques activités tout aussi chronophages : le jeu vidéo (fascinant et chronophage), les transports, la drague (chronophage et énergivore mais ça c’est pour une autre fois !)…
Enfin, pour illustrer le propos, je vous invite à visiter le site des passionnés de montres (si, si, j’vous jure : ça existe !) ; il s’appelle, je vous le donne dans le mille : chronophage ! Si c’est pas un site passionnant ça ?

Quoi qu'il en soit, merci encore de vous livrer à cette activité - aussi chronophage soit-elle - qui consiste à me lire et, pour certains, à me répondre !

17 janvier 2005

Je déteste les lundis…

Cher Journal,
Ce n’est certes pas d’une originalité folle mais c’est vrai : je déteste les lundis… Savoir que la semaine ne fait que commencer, qu’il reste encore cinq jours pleins avant le prochain week-end… grrrrr ! C’est vrai, quoi ! Je passerais bien volontiers un peu plus de temps en week-end. Il y a vraiment de quoi en venir à apprécier la chanson de Claude François (Cloclo pour les fans) : "le lundi au soleil, on pourrait le passer à s’aimer…", non ?
Je peux d’autant plus le dire que mon week-end fut plutôt sympathique, je dois dire. Bon d’accord, je n’ai pas eu autant de contact avec Nico que d’habitude… Emplois du temps quelque peu incompatibles apparemment ce week-end ! Mais ça, c’est les gens du show biz… Toujours entre deux rendez-vous et/ou autre dîner mondain ! (Hummmm, je sens que ça va te plaire ça mon Nico, hi hi hi…) Ceci dit, c’est pas pire que certains journalistes… ;-)
Pour ma part, j’ai eu un samedi somme toute assez tranquille et calme. Et le dimanche… très sympa ! Tournoi interne de volley-ball entre membres de l’association qui m’a occupé toute la journée et m’a permis de me défouler en plus de connaître les joueurs/ses des autres niveaux. Une bien bonne journée donc qui s’est achevée, comme souvent à cette époque de l’année, par l’inévitable galette des rois… Non, je n’ai pas eu la fève, donc pas de couronne ! Pas besoin de cet objet ridicule pour briller… Enfin, l’ambiance et les esprits s’échauffant, je me suis vite éclipsé dans la plus grande discrétion : trop d’ambiance tue l’ambiance.
Par conséquent, tu comprendras, cher Journal, qu’après une journée aussi harassante, j’eus un peu de mal à me lever en ce lundi pour entamer une nouvelle semaine complète avant d’être de nouveau en week-end. Voilà pourquoi je dis que je déteste les lundis….

14 janvier 2005

Liberté d'exclure...

Ca y est, le rapport 2004 "Homosexualité et télévision" a été émis par Media-G, l'observatoire du traitement de l'homosexualité dans les medias. Je me rends donc sur le site pour consulter ce rapport et, là, je suis abasourdi. Dès la première page, une citation du président de Pink TV :

" Tout sauf La Cage aux folles "
Pascal Houzelot, Président de Pink TV,
cité par Pascale Nivelle, Libération, 13/10/2004

Je ne comprendrai, je pense, jamais ce genre de propos. Comment un homme représentant un media gay ou, plus politiquement correct, gay friendly peut avancer ce type d’argument ? Pourquoi une chaîne de télévision gay décide-t-elle à l’avance de programmer tout "sauf la Cage aux folles" ? Bon sang, mais c’est bien sûr, ce film ne parle pas d’homosexualité mais plutôt de "folles". Ce doit certainement être le fin mot de l’histoire, le sujet qu’il faut à tout prix éviter pour ne pas faire d’amalgame. Le personnage de Zaza Napoli est à coup sûr bien trop réducteur et ce n’est pas l’image de l’homosexuel que le Français moyen doit en avoir – si tant est que le " Français moyen " regarde Pink TV. Aurait-on oublié que les homosexuels, à l’image de toute population, n’est pas un groupe uniforme, monolithique ? Peut-on oublier aussi Stonewall et sa cohorte de "folles" qui ont donné naissance au mouvement de reconnaissance des droits des gays ? Quand on pense que "Le cage aux folles" est un film de 1978…
Sans aller jusqu’à la question des droits des homos, un film n’est pas forcément le reflet de toute une catégorie de la population. On ne saurait demander à Zaza de représenter toute la communauté homo (même si l’idée paraît drôle : Tuut tuut !). De même que le film "Pédale douce" ne la représente pas dans sa globalité. D’ailleurs, à l’époque de sa sortie, c’était un des reproches adressés à ce film : trop restrictif, trop caricatural ! On rêve…
Qu’est-ce qui peut donc bien gêner ces gens au point de critiquer de la sorte ces films ? La peur de se reconnaître dans les héros du film ? Très certainement à mon sens ! Ce comportement est, somme toute, très proche de celui de l’homo qui, refusant de s’assumer et voulant le masquer à tout prix, en adopte une attitude homophobe. Plus royaliste que la reine, ma brave dame !
Enfin… je ne vais quand même pas m’énerver tout seul, soliloquer dans mon coin et me gâcher la journée pour ces personnes mais je trouve quand dommage que le président de Pink TV - chaîne dont la signature est "la liberté, ça se regarde" - puisse claironner "Tout sauf la cage aux folles".
Bel exemple de liberté, en vérité !

13 janvier 2005

Pitite blague du jour...

Pas envie d'écrire aujourd'hui... Donc une petit blague pour détendre l'atmosphère ! En plus, c'est pour dire du mal... donc, j'adore et j'adhère !

Une enseignante dans un petit village du Texas demande à ses élèves combien d'entre eux sont des fans de George W. Bush.Ne sachant pas trop ce qu'est un fan de Bush mais voulant être aimés de l'enseignante, tous les enfants lèvent la main excepté un garçon, Johnny. L'enseignante demande à Johnny pourquoi il a décidé d'être différent.
Johnny lui répond : "Je ne suis pas un fan de Bush."
Elle lui demande alors pourquoi. Et Johnny de répondre : "Je suis un fan de John F. Kerry."
L'enseignante poursuit et lui demande pourquoi il est un fan de Kerry. Le garçon lui répond : "Eh bien, ma mère est une fan de Kerry et mon père est un fan de Kerry, alors je suis un fan de Kerry."
L'enseignante, quelque peu fâchée, étant citoyenne du Texas, lui répond : "Qu'est-ce que tu ferais si ta mère était une idiote et ton père, un crétin ?"
Johnny dit :- "Je serais un fan de Bush !"... ;-)

Allez, bonne journée.

12 janvier 2005

Des news du Chili ?

Voilà déjà deux semaines que Patipat est partie à l’autre bout de la Terre, dans ce pays qui s’étire tout le long de la Cordillère : je veux parler bien sûr du Chili. Deux semaines et pas une news de sa part… Je suis donc partagé entre deux sentiments : Pourquoi cette traîtresse n’a-t-elle donc donné aucune nouvelle ? En même temps, elle a raison, c’est la seule et unique façon de faire un vrai break avec le monde du travail… Mais quand même !
D’autant que, si vous suivez l’actualité, vous savez que la Cour suprême du Chili a enfin confirmé l’inculpation et l’ordre de mise en résidence surveillée à l’encontre d’Augusto Pinochet pour les crimes commis dans le cadre de l’opération Condor. Je vous laisse donc imaginer la liesse que cette décision a pu engendrer. Nombreuses sont les familles qui déplorent la disparition d’un ou plusieurs de leurs proches à cause de ce sinistre personnage. Alors la confirmation de sa mise en accusation a certainement dû déclencher des scènes de joie et de fête à travers tout le pays. J’imagine parfaitement Patipat entraînée dans une cueca sans fin, dansant-sautillant tout en agitant son mouchoir blanc sur un rythme endiablé…


Oui, c’est ça, vas-y Patipat, move ton body, déhanche-toi, agite ton mouchoir sur la musique mais ne nous oublie pas non plus. Un petit message serait le bienvenu tout de même… Allez, c’est bien parce que c’est toi, je te pardonne de m’avoir laissé dans l’ignorance et le doute, lol… Mais, je t’en supplie, ne fais pas trop de camping, tu sais que c’est mauvais pour ta santé et, surtout, fais gaffe à l’attaque fourbe des tâches (je me comprends, Ponchitita) ;-)
Pisco-ment tien… zouxxxxxxxx ma Patipat !

11 janvier 2005

Dans les méandres de la logique...

Cher journal,
Aujourd’hui, je suis assez perplexe car la logique me fait défaut…
Pour résumer la situation : je n’ai rien à dire en particulier. Or, je voulais te le dire ! Résultat des courses : j’ai donc quelque chose à te dire. Par conséquent, je ne peux plus dire que je n’ai rien à dire… Que dois-je donc dire, Cher Journal ?

10 janvier 2005

Galette en goguette

Pour faire une bonne galette des rois, il vous faut 2 pâtes feuilletées, 3 œufs, 100 g d'amandes en poudre, 100 g de sucre, 1 cuillère à soupe de farine, 70 g de beurre ramolli, 1 cuillère à soupe de rhum (ou kirsch) et 1 cuillère à soupe de lait. Ou alors, vous pouvez courir chez votre patissier habituel et lui en acheter une !

Non, je ne vais pas vous faire l’affront de vous donner la recette de la galette des rois puisque vous devez évidemment déjà la connaître. En revanche, c’était le week-end idéal pour en manger… Ca, j’ai bien vu, merci ! C’est donc sous ce prétexte fallacieux que je me suis rendu samedi soir chez Arnaud (voilà je t’ai cité chou… alors heureux ? lol) afin de partager et goûter ladite "galette". Tu parles… Elle n’est apparue qu’après quelques (!!!) gorgées de boissons en tous genres. Je me permets au passage de m’insurger contre la pratique qui consiste à réchauffer les galettes au four micro-ondes. Cette méthode ne lui sied pas, qu’on se le dise ! En effet, ce dessert ne tolère pas le micro-ondes qui a la fâcheuse tendance de rendre la galette molle et avachie. Patipat, dont c’est le dessert préféré, ne me contredira pas…
Pour en revenir à la soirée, pas mal de monde dans l’appartement, les bouteilles ont tendance à s’empiler, vides, dans la poubelle ; il est grand temps pour moi de m’esquiver le plus discrètement possible pour éviter de passer trois heures à "dire au revoir". Encore raté… Pas grave ! J’alpague Fabrice au passage (ben oui, il a une voiture, lui… je vais pas partir en taxi !) et zou… direction le Bataclan pour la Nuit des Follivores ! Soirée plutôt classique : "salut chou, ça va ? oui merci, moi ça va aussi"… hop je me trémousse un peu sur le dancefloor, j’esquisse deux/trois pas de danse (juste l’esquisse alors !), "oups, pardon pour le verre renversé ? c’est pas ma faute…". Rien de bien extraordinaire quoi ! Retour à la maison vers 04h30, la tête en vrac certes mais… à la maison !
Le lendemain, le réveil est plus dur et pénible que d’ordinaire, est-ce normal ? Ben vi…On n’a pas tous les jours 20 ans (à fredonner façon Berthe Sylva). Je me hisse tant bien que mal hors du lit et là c’est le drame : d’autres copains doivent arriver dans une heure pour… la galette ! Quand je vous dis que le week-end était placé sous le signe de la galette… Allez, va falloir que je prenne sur moi pour garder les yeux ouverts sans que la trop courte nuit ne se voie, donc ravalement en prévision pour faire bonne figure. J’y vais de ce pas… A la prochaine !

06 janvier 2005

Et moi, et moi… émoi !

Depuis que j’ai créé ce BLOG, je me rends compte que je m’en sers un peu comme défouloir et ça me fait le plus grand bien. C’est même pire que tout puisque je ne peux m’empêcher d’y aller au moins deux à trois fois par jour.. je soigne mon narcissisme comme je peux ! Au moins, le psy n’aura pas ma thune tout de suite. Et puis, de toute façon, je n’en ai nul besoin.
En bon narcissique donc, je me fais fort de communiquer l’adresse de mon BLOG à mon entourage. Pas bête le bonhomme, on intéresse les autres à son propre cas comme on peut : tous les moyens sont bons. Après m’être fendu d’un mail en bonne et due forme, je m’intéresse donc aux éventuels retours (toujours la sempiternelle logique : mais que va-t-on penser de mon blog ? de mes propos ? de moi quoi !). Et que croyez-vous donc qu’il advînt ? Non mais je rêve… On me reproche, dans mes différents posts, de ne pas citer un tel ou de ne pas avoir parlé d’un tel autre ! Mais où va-t-on ?
Sachez, Mesdames, Messieurs, que je m’insurge contre ces réactions. Ceci est MON blog ; par conséquent, j’en profite pour parler de moi, de ce qui m’arrive à moi, de ce que, moi personnellement, je ressens… Ceci est mon espace de parole, mon univers égocentrique voire narcissique. Voilà, je tenais à mettre les points sur les " i " pour répondre aux diverses plaintes qui me furent adressées.
Je déclare donc très offciellement que ce blog est dorénavant mon U.P.E., à savoir mon "Univers Personnel Egocentrique".
A très bientôt donc et ne m’en veuillez pas d’être égoïste ici ! ;o)

05 janvier 2005

Un jour, un mot : INEXPUGNABLE

Il est des mots comme des gens : certains vous plaisent (ou vous déplaisent !) a priori sans qu’aucune raison valable justifie ce sentiment. Peu importe le pourquoi du comment, certains mots me plaisent… un point c’est tout !
Parmi ceux-ci, le mot INEXPUGNABLE se ditingue car, dès que l’occasion se présente, j’aime tant le prononcer ce mot que je tente de le placer. C’en est même devenu un jeu, un signe de reconnaissance avec Nico. D’avance merci de ne pas nous demander l’origine de cet engouement, nous ne saurions l’expliquer je pense. Quoiqu’il en soit, j’aime ce mot et j’en use.
Emprunté du latin inexpugnabilis (cf. Trésor de la Langue Française), cet adjectif signifie "qui ne peut être pris par la force des armes ; qui résiste à tous les assauts" et s’applique principalement à une forteresse. Par extension, le latin l’appliquait également aux sentiments avec la locution inexpugnabile amori pectus (cœur inaccessible à l’amour)… Qu’en termes galants, ces choses-là sont dites n’est-ce pas ?
D’ailleurs, petite précision au niveau de la prononciation, le dictionnaire nous informe que les lettres g et n se font entendre séparément. A ceux qui persistent à prononcer le g et le n ensemble, merci d’en prendre note !
Enfin, pour illustrer le post, je vous épargnerai le discours sur ma voisine qui est loin d’être une place INEXPUGNABLE !

04 janvier 2005

Que sont les dieux devenus ?

J’ai récemment regardé le film "Troie" avec Brad (no comment !) et j’ai passé un joli moment. Le film est bien réalisé, les scènes spectaculaires à souhait, les protagonistes plutôt bien mis en valeur… Un œil plus exercé y trouverait très certainement des défauts techniques dans la réalisation ou le montage. Mais bon !


Toutefois, je me pose une question d’importance : Si l’on doit s’inspirer de la mythologie grecque pour en faire des films, pourquoi n’en respecte-t-on pas les récits ? Je veux dire par là que, quitte à mettre en scène l’histoire de la chute de Troie, pourquoi ne pas avoir montré tous les intervenants de cette histoire ? Que sont donc les dieux devenus ? Ne me dites surtout pas qu’ils n’ont rien à voir dans la chute de Troie… J’eus aimé apercevoir Aphrodite, Hera et Athena apporter leur aide aux héros de chaque camp, voir leur implication dans cette bataille épique. On ne peut contester l’implication des Olympiens dans cet épisode de l’Antiquité. Quid de Cassandra, sœur d’Hector maudite des dieux qui l’ont condamnée à connaître l’avenir sans jamais être crue ? Cette pauvre fille (il n’y a pas d’autre mot) avait pourtant mis en garde Troie contre le danger représenté par le fameux cheval éponyme… Enfin, toutes ces toges et tous ces drapés supplémentaires n’auraient nullement dénoté au milieu de ces jupettes si joliment portées par tous ces héros !
Alors, Messieurs les scenaristes, je vous saurai gré à l’avenir de tenir compte des tous les éléments d’une histoire pour la narrer correctement et d’avance merci !

03 janvier 2005

ô temps ! Ne suspends pas ton vol…

Il y a des jours comme ça où l’on voudrait que le temps s’accélère afin que la journée (qui s’annonçait morose et qui confirme la première impression…) s’achève au plus vite. Aujourd’hui est une de ces journées ! Trop brutal, le retour au monde du travail ; trop de galères ; trop de mauvaises nouvelles… trop de tout quoi !
Alors, je m’adresse à toi, Môssieur le dieu du Temps qui passe : ne pourrais-tu me céder le contrôle de ta machine à gérer le temps pour que je puisse en accélerer le cours ou au contraire le ralentir selon l’ambiance du jour ? Faut-il pour cela que je commande un sablier géant pour mon prochain Noël ou, peut-être, que je contacte l’agent des Sœurs Halliwell pour leur demander un sort qui agirait dans ce sens ?


En dernier recours, je peux toujours demander à ma copine Endora (belle-maman acariâtre de Jean-Pierre Stevens) de me filer un coup de main… Et elle est tellement mauvaise, constamment prête à contrecarrer les rouages trop bien huilés, qu’elle pourrait bien me prêter une oreille attentive ! Et toc !
Au passage, j’en profiterais pour lui demander deux ou trois autres choses qui me feraient bien plaisir. Hé hé hé mais… chut ! J’en dirai davantage une autre fois.
Allez, zouxxxxxx à tous.

P.S. : Ah, j'allais oublier... Meilleurs voeux pour 2005.