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"Tolérance : c'est quand on connaît des cons et qu'on ne dit pas les noms"... Merci Monsieur Pierre Doris ! Au fait, bienvenue sur le blog à Marko...

21 février 2005

Honte à toi, fumeur !

Ca y est, nous avons franchi un cap de plus dans la bêtise au sein de notre boîte : nous étions déjà parqués à la cafétéria du niveau –2 (qui était l’unique lieu réservé aux fumeurs), nous sommes désormais contraints de sortir de l’immeuble pour pouvoir griller une clope ! De mieux en mieux dans cette société à tendance "fascisante"…
Dorénavant, pour pouvoir fumer une cigarette, je dois :
1/ enfiler mon manteau,
2/ attendre – patiemment – l’ascenseur,
3/ sortir fumer en quatrième vitesse parce qu’il fait froid,
4/ attendre à nouveau – toujours patiemment – l’ascenseur pour retourner à mon poste.
Et tout ça, parce que l’odeur de la cigarette gênait les "personnes qui disent non au tabac" dans la cafétéria. Soit ! On aurait pu tout de même trouver un local destiné aux fumeurs si on dérangeait à ce point, non ? Et que dire des odeurs - horribles - de cuisine qui remontent lorsque nopus prenons l’ascenseur… Dois-je, moi aussi, signaler ce désagrément à la DRH et exiger qu’elle trouve une solution radicale à ces problèmes olfactifs ?
J’aime vraiment cette solution qui consiste à nous parquer, nous pauvres fumeurs que nous sommes, dans des lieux bien spécifiques… Pourquoi ne pas nous affubler également d’un joli brassard avec un logo dessus pour bien identifier les fumeurs, pour bien séparer le bon grain de l’ivraie ? On pourrait ainsi mieux nous montrer du doigt, mieux nous désigner et nous livrer à l’opprobre publique… Et pourquoi ne pas instaurer également un prime pour toutte personne signalant (et non "dénonçant", ce mot est injurieux !!!…) un fumeur qui accomplirait son horrible forfait (i.e. fumer sa cigarette) dans un lieu non prévu à cet effet ?

C’est dingue… Je parle, je parle… et je m’emporte ! Non, décidément, je vais bien trop loin : on pourrait croire que je préconise le retour à une époque, que j’espère révolue pour toujours, durant laquelle on dénonçait ses voisins. Non, je vais simplement rappeler à ceux et celles qui me conseillent d’arrêter de fumer sous des prétextes fallacieux (santé, économies,…) que fumer est un acte bien personnel, que tout ceci fait partie de ma vie privée et que, comme l’adjectif l’indique, elle ne regarde que ma pomme !
En conclusion et pour résumer ma situation : NON je n’arrêterai pas de fumer et, si je suis tout à fait d’accord pour faire attention aux personnes qui m’entourent et ne fument pas, j’exige aussi que l’on me respecte en tant que fumeur, en tant que personne à part entière. Et cessez de me casser les… bonbons avec vos histoires de santé car toi aussi, non fumeur, tu mourras un jour !


P.S. : ouf, ça va mieux…. ;o)

16 février 2005

La chatte en vinyl viellit !


Un an de plus aussi pour toi, mon Sebounet ! Ca y est, tu as atteint le quart de siècle... Félicitations ! Et bon anniversaire chou...
Tut tuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut

Le coron est orphelin…

C’est hier qu’est tombée la nouvelle fatidique, triste, accablante et affligeante : Pierre Bachelet est décédé ! Horreur, malheur ! Nous n’aurons désormais plus que ses disques pour écouter sa voix si particulière…
Pierre bachelet, c’est ce chanteur qui nous fit découvrir – pauvres ignares que nous sommes – "Les corons". Peut-être connaissiez-vous déjà ce terme ? Pour ma part, il a fallu cette chanson pour apprendre qu’il existait, quelque part en France, des corons… J’ai donc bien intégré que "au nord, c’était le corons… ". Comme quoi, on en apprend tous les jours, même avec une chanson aussi banale que celle-là !
Pierre Bachelet, c’est aussi un chanteur avec un sens chorégraphique poussé à son paroxysme. Souvenez-vous de son éblouissante prestation scénique lorsqu’il interprétait en plateau son succès "Marionnettiste". Le voyez-vous, bras écartés, chanter son titre, animé de mouvements saccadés censés imiter la gestuelle d’une… marionnette ! Bravo, vous suivez, c’est un bonheur ! Combien de fois n’a-t-on vu cette chorégraphie reprise dans des "shows" de boîtes nuit ! Vous savez ce que signifie épique ? Bon, et bien là… épique ! Note technique : 1,5… Note artistique : guère mieux ! Et merci d’être venu(e)…
Sans vous dresser un catalogue exhaustif de ses titres, je ne peux passer sous silence un autre succès de Pierre Bachelet : je veux parler de cette œuvre (?) qui s’intitule "En l’an 2001"… "Quand on aura 20 ans en l’an 2001…" clamait le chanteur. Merci vraiment ! Comment fait-on pour se sentir concerné lorsqu’on a toujours t’huit ans ? Franchement non… Finalement, je vais peut-être l’ignorer, cette chanson… ;o)
Enfin, le plus surprenant pour la fin : Pierre Bachelet n’était pas qu’un simple chanteur, si je puis m’exprimer ainsi. En effet, outre ses talents (??) d’interprète, il avait une autre corde à son arc : celle de compositeur. Et pas n’importe quel compositeur puisqu’il signe la bande originale deux films majeurs : il connaît le succès avec la musiqiue du film "Emmanuelle" (non, pas l’Emmanuelle de François Valéry mais bien celle incarnée à l’écran par Sylvia Kristel… à poil, complètement à poil !) puis, un peu plus tard, la B.O. du film culte "Les bronzés font du ski"… Ca laisse quand même songeur de pouvoir passer comme ça des Corons aux Bronzés, non ?

Tout de même, avoir fait tout ça pour, au final, le jour de son plus grand numéro, n’avoir droit qu’à un simple communiqué laconique du style : "Le 15 février 2005, Pierre Bachelet qui avait de nombreux projets en cours, décède à la suite d'une longue maladie à son domicile de Suresnes, en banlieue parisienne". D’avance merci, je préfère encore demeurer dans l’anonymat… Comme on dit, merci l’artiste !
tut tuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut

15 février 2005

On m’avait pourtant prévenu !

Voilà, c’est fini, terminé, achevé, liquidé, révolu… Vous n’avez pas encore deviné de quoi je parle ? Des soldes évidemment ! C’est tout moi ça : chaque jour, je me dis que ce serait bien d’aller faire un peu le tour des magasins pour voir s’il y a quelque chose que je pourrais acheter en soldes. Chaque jour, feignasse que je suis, je reporte au lendemain… Et pourtant, ce n’est pas faute d’avoir été prévenu : ne reporte pas à demain ce que tu peux faire aujourd’hui ! Résulat des courses : les soldes sont terminées et je n’en ai pas profité… Bravo ! Bien fait pour ma pomme ! Je n’avais qu’à me bouger lorsqu’il était encore temps !

Et oui, c’est seulement aujourd’hui que j’ai réalisé mon erreur car je pensais aller faire un tour à la Défense ce midi pour "profiter des derniers jours". Elle est pas chouquarde celle-là : profiter des derniers jours des soldes alors que celles-ci sont finies ? A force de repousser au lendemain, j’ai tout raté et, là, j’enrage. Je vais finir par croire ce que racontait si bien un certain Jeannot (ndlr : de la Fontaine) : rien ne sert de courir, il faut partir à point ! Là, pour le coup, je n’ai ni couru et suis encore moins parti à point… tout faux le Marko !
Je le regrette d’autant plus que j’avais quelques idées d’articles importants à acquérir : des neurones pour certaine blonde de ma connaissance (on va pas non plus payer plein pot pour rendre des blondes intelligentes !), du vocabulaire pour d’autres, des idées plus sociales pour certains esprits étriqués, de la jugeotte pour d’autres écervelé(e)s… enfin, que des choses essentielles pour un monde meilleur quoi ! Mais bon, j’ai loupé le coche et il me faudra attendre les prochaines soldes…
Dommage car j’aurais aussi pu m’acheter un peu de patience et d’indulgence, histoire d’apprendre à supporter les cons et à vivre avec !
P.S. : N'insistez pas, je ne donnerai pas de nom pour les exemples du dernier paragraphe ! ;o)

12 février 2005

Un an dans ta face mon Nicoloo...

Et bien voilà, nous y sommes : il est minuit passé de quelques minutes et nous sommes donc le 12 février ! Ca te parle le 12 février mon Nicoloo ? Et oui... Alors...

BON ANNIVERSAIRE Nicoloo !

Tut tuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuut

10 février 2005

Déménagement … qui a eu cette idée folle ?

Voilà voilà, nous y sommes… en plein déménagement au bureau. Quel bordel ! Excusez-moi pour cette expression un peu grivoise mais tellement proche de la vérité. Aujourd’hui, nous entamons le déménagement du service ; en fait de déménagement, je devrais plutôt parler de réorganisation. Mais le résultat est le même : je suis, toute la journée durant, un S.B.F. ! Entendez par là que je suis un Sans Bureau Fixe et n’ai plus de bureau à moi. Je suis obligé de voguer de bureau en bureau tel le coucou moyen qui vampirise les nids des autres oiseaux…
Donc, pas de bureau, pas de téléphone, pas d’accès à mon ordinateur… Mais que fais-je donc là ? Si ça ne tenait qu’à moi, je serais déjà dans mon "home sweet home", tranquillement installé devant mon ordi ou ma télé ou, tout simplement, à faire une bonne sieste bien méritée ! Mais bon, ce n’est pas à l’ordre du jour ; je vais donc, patiemment et gentiment, attendre que cette journée touche à sa fin…
Je hais les déménagements !

08 février 2005

Si, si, je vous assure… c’est encore nécessaire !

Allez c’est le quart d’heure de la leçon… Je vais vous entretenir d’un objet malheureusement encore d’actualité et nécessaire : la capote ou préservatif !
Pour commencer, laissez-moi vous signaler que cet ustensile n’est pas une invention récente puisque l’ancêtre du préservatif, fabriqué à base de boyaux de mouton, naît en Egypte 3000 ans av JC. Il est principalement utilisé par les soldats afin de se protéger des maladies vénériennes. Déjà à l’époque… Au cours des siècles, il a subi de nombreuses transformations pour devenir aujourd’hui bien plus que l’incontournable "capote" et s’installer légitimement dans notre intimité…
Le préservatif a malheureusement connu son heure de gloire, si je puis m’exprimer ainsi, à la fin des années 80/début des années 90, en tant que seul et unique moyen fiable de prévention contre la transmission du VIH (Virus de l’Immunodéficience Humaine). Aujourd’hui encore, la seule façon de prévenir la transmission du sida est et reste la capote (homris l'abstinence, mais c'est une autre question!). Et on n’a pas fini d’en utiliser, enfin en théorie…


Je me permets de préciser "en théorie" car il y a quleques jours à peine, je discutai tranquillement avec un copain de nos vies respectives quand il m’annonça qu’il avait cédé aux avances répétées de sa voisine ! Quel choc… Alors ça, c’était la meilleure de l’année ! Avec une fille ! Ca se fait encoe ce genre de choses ? lol… Bien évidemment, je l’affublai de toutes sortes de noms d’oiseaux, de lâcheur, de traître (vis-à-vis de la gent homosexuelle, lol) avant de poser tout naturellement la question fatidique : "Et, bien entendu, vous utilisez des préservatifs ?", lançai-je sur le ton de la plaisanterie. Son air se fit penaud, son regard bas et sa voix souadin flette sortit un timide : "Ben non…" !!!
Je vous fais grâce du sermon que je lui servis alors de mon air le plus moralisateur. Mais à quoi bon ? C’est fait et on ne pourra pas revenir dessus.
Comme quoi, même en 2005, parmi des personnes averties et sensibilsées au sujet, le port du préservatif n’est pas une chose définitivement acquise ! C’est la raison de ce post et de son titre… Alors, effectivement, le thème est peu drôle mais il est nécessaire de faire régulièrement des piqûres de rappel quant à la prévention du Sida.
Par conséquent, même si la formule est désormais banale, SORTEZ COUVERTS !!!! C’est encore nécessaire… et vous en trouverez de toutes les tailles, de toutes les couleurs et à tous les goûts ! Vous pourrez trouver divers modèles en cliquant ici ou bien plein d'informations en cliquant ici et .

04 février 2005

Un choix cornélien

Cher Journal,
Régulièrement, je vais faire un tour sur le site de l’association de volley-ball, Contrepied, pour me tenir informé des dernières mises à jour, des dernières infos relatives à la vie de l’association, des entraînements… Hier soir, par conséquent, j’y vais et, ô surprise, je vois que le calendrier des tournois étrangers est mis à jour. Mon intérêt soudain piqué, je me penche plus sérieusement sur les dates proposées et là, c’est l’horreur ! A la lecture du calendrier des tournois, je m’aperçois que, lors du même week-end, trois tournois sont planifiés : un à Hambourg, un autre à Prague et enfin un dernier à Montréal… Choix cornélien s’il en est, pusique la question au finish est la suivante : Où vais-je passer mon week-end pascal ? Hambourg, Prague, Montréal ou Paris sans faire de tournoi ?
J’adorerais partir à Montréal pour participer à ce tournoi mais il est difficlement envisageable de se rendre aussi loin pour seulement trois jours. D’autant que je garde un souvenir fort agréable de mon dernier séjour dans cette ville, il y a… oups, très peu de temps ! C’était hier… lol ;o) Non, je ne peux décemment pas aller à Montréal sans y rester au bas mot une semaine. Je pense donc que je vais éliminer cette éventualité, un pincement au coeur malgré tout.
Aller à Prague, bien sûr que j’en ai envie ! Problème : peut-être pas dans ce cadre. Lorsque nous partons un week-end pour participer à un tournoi de ce genre, nous avons rarement le temps de visiter la ville et encore moins ses alentours. Or, la ville mérite très certainement d’être parcourue. De plus, je ne sais pas si le tournoi en question est important, s’il s’agit d’un gros tournoi en terme de nombre d’équipes. A voir…
Enfin Hambourg ! Celui-ci est un tournoi plus important, je suis donc sûr de trouver des personnes désireuses d’y participer et c’est moins loin que Prague. Les divers retours sur ce tournoi étaient tous élogieux et m’incitent à y participer. Il me resterait, dans l’éventualité d’une participation, à trouver une équipe qui m’accepterait dans ses rangs. Ca va donc être une question que je poserai ce soir lors de notre entraînement.
En dernier recours, Cher Journal, j’ai toujours la solution de ne participer à aucun tournoi lors du week-end pascal et de rester bien tranquillement chez moi, à Paris… ;o)
Mais je t’informerai de ma décision en temps voulu !

03 février 2005

Nos amies les bêtes...

Certains d’entre vous me connaissent, d’autres me découvrent (enfin, pas trop quand même !)… bref, vous savez certainement que la vie à la ferme, malgré tous ses attraits, ne présente que peu d’intérêt pour moi si ce n’est un calme relatif par moments. Malgré ma réticence, j’ai voulu tenter de me confronter à la nature. Mais là, dilemme : comment goûter aux «douces joies» de la vie à la ferme sans quitter pour autant le confort urbain et les habitudes citadines ? Comment côtoyer des animaux sans en subir forcément les inconvénients qu’ils soient olfactifs ou contraignants ? La solution, vous vous en doutez, je l’ai trouvée : l’élevage virtuel sur le net. Je ne suis certes pas le premier (ni le dernier d’ailleurs) mais ça ma plaît assez, je dois le dire… Deux clics et hop, le tour est joué : le bestiau est content, moi aussi d’ailleurs.

Une fois la décision prise, il y a quelques semaines, je me mis en quête de sites de ce type sur la toile mondiale (francophone de préférence !). Et j’ai trouvé… Evidemment, le type d’élevage choisi par votre serviteur devait correspondre à mon univers - un peu fantasque et enfantin au goût de certains. J’ai donc tranché et mon choix s’est porté sur trois sortes élevages quelque peu atypiques. C’est parti pour l’énumération :

Mon premier choix s’est tout naturellement porté vers le dragon. Vi vi, un dragon ! J’ai donc acquis une très jolie salamandre que je me suis empressé de baptiser : je vous présente donc, Mesdames et Messieurs, la superbe Aphrodite qui s’est tout naturellement développé (à ce point, on peut même dire qu’elle s’est répandue… lol). Tous les jours, je me préoccupe de sa petite personne en la nourrissant, la choyant, la nettoyant. Et – ô comble – je l’entraîne au combat… Et oui, c’est tous les jours facile une vie d’éleveur de dragon ! Avec un peu de patience, vous pourriez vous aussi en adopter un ! En plus, chaque jour, Aphrodite fournit des pierres précieuses. Elle est pas belle la vie ? ;o)

Ensuite, j’ai voulu me diversifier comme on dit… Alors j’ai adopté un autre animal fabuleux : une licorne. Calliope, car c’est son nom, grandit de jour, combat des esprits malfaisants et a même atteint le titre tant convoité d’ «écuyer de la forêt». Une crinière à en faire pâlir certaines jeunes filles à le chevelure clairsemée, une robe somptueuse au possible, une corne aux propriétés magiques avérées… Une merveille quoi ! J’en vois déjà certains qui en verdissent de jalousie. Inutile de vous mettre dans des états similaires, rejoignez donc le club très fermé des amis des licornes

Enfin, pour compléter ma collection, j’ai adopté aujourd’hui même un chocobo. Evidemment, cet animal est peu connu sauf de certains initiés qui connaissent la saga Final Fantasy. Je suis tombé par hasard sur «la ferme des chocobos» et, sans hésiter, j’en ai adopté un qui répond au doux nom d’Alexandre. Je ne peux vous en dire encore grand-chose si ce n’est que, bien évidemment, il est plus beau que tous les autres puisque c’est le mien. Comment eut-il pu en être autrement ? :o)

Voilà ces quelques lignes pour vous faire partager mon hobby, peu chronophage et tellement satisfaisant… J’en vois déjà qui se gaussent doucement mais je vais passer outre en confiant le mot de la fin à une chanteuse qui n’a fait qu’un tube à ma connaissance – Yiana Katsoulos – en chantant «et les autres sont jaloux»… bye bye !

01 février 2005

Today is the day !

Comment vous dire la chose autrement après un titre aussi éloquent ? En français peut-être : c’est le grand jour ! Oui, c’est aujourd’hui que revient ma super Patipat… Après un périple de plus d’un mois au Chili, la voici de retour dans notre pays et, surtout, au bureau. Bon d’accord, ça doit pas être très drôle pour elle, mais moi, très égoïstement, je suis HEU-REUX !!!
Alors, pour ne pas rompre avec la tradition, nous allons très certainement déjeuner en tête-à-tête, histoire de nous débriefer correctement et mutuellement sur cette trop longue période de séparation.
Je n’aurai donc qu’une chose à dire : Welcome back Baby chou ! Je t'attends de pied ferme et je prépare le café... zouxxxxxxxxxx